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Introduction

Tout d’abord, je voudrais signaler que quiconque lit ces lignes ne doit pas oublier de prendre de la réserve et de la distance par rapport aux mots en tant que tels, surtout ceux qui n’ont aucune idée de la raison pour laquelle je commence par ces mots, ou même de la manière et de la raison pour laquelle j’utilise les mots, ou de ce à quoi ils doivent servir, et pas seulement dans ce cas-ci.

Je pourrais parler de société, de communauté, de collectivité, etc., mais dans tous les cas, ce serait très trompeur, car Rustymonde peut être le lieu d’une seule personne, ou même d’aucune personne, sans que cela ait un quelconque effet sur le principe de la nature de sa création, de son fonctionnement ou de son existence.

Je pourrais aussi parler du fait que Rustymonde n’est pas créé par la communauté (société, communauté, etc.), mais au contraire, qu’il crée la communauté elle-même, mais cela serait encore trompeur et essentiellement faux, puisque la création ou l’émergence d’une communauté n’est qu’un simple effet secondaire qui n’est pas intrinsèquement important, et encore moins l’intention ou objectif de sa création.

Je pourrais continuer pendant très longtemps à énumérer ce que Rustymonde n’est pas, même si, à première vue, il pourrait sembler que ce soit l’inverse.

Je pourrais également expliquer pourquoi il est plus facile de dire ce que Rustymonde n’est pas que ce que Rustymonde est. Ou bien je pourrais écrire les deux phrases précédentes de manière que le maximum de contexte puisse être encore transmis. Je ne veux en aucun cas jouer avec les mots, ni être énigmatique ou cacher quoi que ce soit. Je ne fais qu’adhérer au principe de la signification non seulement de l’origine mais aussi de l’essence de RM.

Si tu tiens compte (autant que possible) des lignes précédentes et de leur contenu, tu comprendras peut-être pourquoi le seul mot qui se rapproche le plus de ce qu’est Rustymonde est « environnement ». Un environnement qui est créé sur la base des principes et des lois fondamentales de la nature. Un environnement qui évolue, grandit, apprend, acquiert de l’expérience, et ce, sans qu’aucune implication humaine consciente ultérieure ne soit importante, ni même que ce soit dans aucune sorte de « conscience collective ».  

Ainsi, si nous parlons d’ »environnement », sans me complaire dans les termes suivants, je les utiliserai dans un souci de clarification. C’est-à-dire qu’il s’agit d’un environnement « simultané ou parallèle » à tout autre environnement, mais en aucun cas « alternatif ». Mais en même temps il s’agit d’un « environnement » qui peut être intrinsèquement symbiotique ou harmonieux avec d’autres environnements.

Je comprends que ces mots puissent être confus ou peu clairs, mais c’est, entre autres, parce qu’il ne s’agit pas d’une description ou d’une présentation destinée à permettre à (quelqu’un) de comprendre le principe de l’existence et du fonctionnement de Rustymonde (également appelé RM). Il s’agit simplement d’une introduction pour permettre à quiconque d’en savoir plus s’il est intéressé et de ne pas déranger ceux qui ne le sont pas. Après tout, pour comprendre un certain environnement, il faut y avoir vécu un certain temps, et pour vivre dans un environnement et le comprendre, il faut avoir une bonne raison de le faire, mais surtout, il faut le vouloir par soi-même.

Centre d’intérêt

On comprendra qu’un tel environnement n’a pas été créé pour être là, mais pour offrir, entre autres, des opportunités qui dépendent de conditions initiales spécifiques. Des opportunités qui ne seraient pas disponibles autrement. Tu peux l’imaginer simplement, par exemple, comme la construction d’une serre dans un environnement familier, ordinaire, dans n’importe quel sens du terme, que serait donc, dans cet exemple, un jardin ordinaire. Dans un tel jardin, par exemple, il ne sera pas possible de cultiver des poivrons. Cependant, si nous construisons une serre et créons un environnement spécifique avec une température, une humidité, une lumière, une « acidité » du sol, etc. spécifiques, cet environnement permettra de cultiver des poivrons. Cependant, l’environnement de la serre n’interférera pas avec l’environnement initial et original, sinon qu’en plus ils vont s’enrichir mutuellement.

Cependant, il s’agit d’une métaphore dont le chevauchement ne peut être vu dans cet exemple et dont la compréhension est un chemin long et très escarpé (même si la raison te convaincra 100 fois du contraire). Une métaphore qui, dans sa version simplifiée, est même presque intransmissible. Mais si tu comprends le principe de la serre, tu peux avoir un aperçu de ce qu’elle est, et pourquoi Rustymonde a été créé. Si Rustymonde est une « serre », alors qu’est-ce que le « poivron » ?

En réalité, il ne s’agit pas de poivrons (culture), mais de l’ »impossibilité même de réussir » en raison de l’absence d’un environnement adéquat. Ainsi, en construisant une serre, il est possible de cultiver des poivrons, mais on crée aussi un potentiel qui peut se traduire non seulement par la possibilité de cultiver des poivrons, mais aussi des aubergines, etc.  Il ne s’agit donc pas des légumes ou des fruits eux-mêmes, mais avant tout de la simple possibilité de réussir réellement dans un nouvel environnement, alors que l’environnement d’origine ne favorisait pas, voire ne permettait pas, la réussite. Mais même cette notion est très trompeuse et, dans un contexte plus large, nous pouvons voir qu’elle est loin d’être suffisante. Ou mieux encore, Rustymonde n’est pas là pour offrir des possibilités manquantes, mais pour mettre à disposition de telles possibilités, si une condition importante est remplie, à savoir la présence de la volonté et du sens lui-même. En d’autres termes, il ne s’agit pas de faire pousser des poivrons ou d’offrir des solutions, mais de mettre à disposition un environnement adéquat si la volonté et le sens de la culture de ces poivrons (aubergines, concombres, etc.) sont présents.

Cette métaphore est très difficile à transposer dans une perspective réelle, car elle est très simpliste et limitée. Mais il ne s’agit pas d’éclairer ce qu’est Rustymonde, mais seulement de révéler « un tout petit peu » le principe de son existence. Si nous nous en tenons à ce principe, nous pouvons voir ce que signifie un tel poivron (aubergine, concombre, etc.) dans cette métaphore, ou plutôt, ce que signifie le désir et la volonté de faire pousser le poivron (aubergine, etc.) lui-même, et seulement en utilisant l’environnement adéquat, grâce auquel cela pourrait mener à la réussite.

Au fur et à mesure que RM grandit, il en va de même pour les zones qui le composent, et la serre peut avoir une signification différente pour chacun. Mais comme il serait relativement difficile de fournir la quantité nécessaire de contexte pour voir dans ces serres, je vais le prendre sous un angle légèrement différent.

Rustymonde est un environnement créé pour des choses, des êtres vivants et d’autres faits inutiles, inutilisées, non désirées, non fonctionnels, sans succès, infructueux, apparemment inutilisables, tant que les conditions soient bien sûr remplies pour qu’une interaction soit possible.

Pour être clair, il ne s’agit pas d’une forme de sauvetage, d’aide, de charité ou d’écologie. Il ne s’agit que de la possibilité de réaliser pas seulement un potentiel partiel d’une existence par le biais d’un environnement qui lui est adapté, quelle que soit la forme de cette existence.

Les décharges sont pleines de toutes sortes de matériaux qui sont loin de réaliser leur potentiel, qu’il s’agisse de bois, de plastique, de métal, de déchets biologiques, etc., simplement parce que l’environnement dans lequel elles se trouvent ne permet pas la réalisation du potentiel. Une vieille planche couverte de terre, de moisissure, pleine de clous, etc. est indésirable (si elle était désirée, elle ne se trouverait pas dans une décharge). RM est l’endroit idéal pour de telles planches. Cependant la décharge et la planche elle-même, en plus d’être une démonstration concrète dans cet exemple, constituent également une autre métaphore.

Tout le monde peut imaginer une décharge (dépotoir), mais cette idée peut avoir de nombreux chevauchements et niveaux. Tout le monde connaît la décharge où s’accumulent les choses matérielles du monde physique. Mais où s’accumulent les choses inutiles, non désirées, non utilisées, infructueuses, etc. du monde mental ou spirituel ? Les dépotoirs pour de tels endroits n’existent pas, c’est parce qu’ils ne peuvent pas être formés. Ils ne peuvent pas être formés pour la même raison que les décharges de matériaux sont dangereuses, et ce à tous les niveaux. Et s’il était possible de jeter une telle peur, par exemple, dans une poubelle ? Ou la maladie, la douleur, un comportement indésirable, la malchance, l’échec, les problèmes, les angoisses, les difficultés, les désirs inassouvis, les actions ou les situations indésirables, etc. Saurais-tu à quoi ressemblerait une telle décharge ? Elle déborderait de choses accumulées auxquelles tu contribuerais toi-même quotidiennement sans te demander si c’est bien. Ce n’est pas parce qu’il n’y a pas de telles décharges que ces choses ne s’accumulent pas quelque part. Elles le font, elles s’accumulent dans l’esprit et le corps de chaque personne qui, si elle avait la possibilité de les jeter dans une benne à ordures, le ferait. Es-tu parmi eux ? Tu l’es.

Mais RM n’est pas l’endroit où ces choses devraient être dirigées, car dans ce cas, RM lui-même deviendrait un dépotoir. Au contraire, RM est un environnement où toutes les choses indésirables ne veulent pas être jetées ni éliminées, mais plutôt traitées afin de maximiser leur potentiel, peu importe qu’elles soient physiques, psychologiques ou spirituelles.

« Il existe un dépotoir imaginaire pour presque tout. »

Une petite partie de mon travail (et l’essence même de l’existence de RM) est une sorte de « travail » avec les chiens et les personnes qui vivent avec eux.  Pour certaines raisons qui ne sont pas pertinentes pour l’instant, j’utilise des exemples de ce travail comme modèles, pour suggérer des principes qui sont à la base d’une éventuelle compréhension future. Bien que, dans la plupart des cas, mon travail n’implique pas du tout les chiens, car les personnes avec lesquelles je travaille n’ont pas de chien, ou ce n’est pas la relation avec le chien qui les perturbe actuellement. D’autres fois encore, je travaille avec l’aide de chiens (les miens) lorsqu’une collaboration peut « aider », même si le travail ne s’inscrit en aucun cas dans le contexte d’une relation homme-chien. Et d’autres fois, je travaille avec des chiens qui vivent avec des humains, soit dans le cadre de la relation homme/chien, soit par exemple pour des comportements indésirables du chien, mais aussi par exemple dans des cas où seule la relation homme/chien est utilisée comme relation de départ pour comprendre une autre « réalité ou relation indésirable » qui ne concerne apparemment pas du tout la relation homme/chien (santé, amour, compréhension, communication, etc.). Cependant, c’est très complexe, et donc en vérité, c’est constamment entrelacé de diverses manières. Alors, comment ce dépotoir imaginaire se rapporte-t-il, par exemple, à ces chiens et aux relations avec eux ?

Le comportement ou l’acte « indésirable » (désobéissance, agressivité, peur, incapacité, maladie, réactions indésirables, etc.) est l’essence et le contenu principal de ces décharges imaginaires. Les gens peuvent combattre ces choses de plusieurs façons, de la guérison au coaching, en passant par cacher le comportement ou l’acte, etc. dans des illusions, mais ils ne peuvent pas simplement les « jeter » à la poubelle. Nous en arrivons donc toujours au même niveau, à savoir que le comportement ou l’acte constitue un « problème » et que, par conséquent, si l’on pouvait simplement s’en débarrasser, les gens n’hésiteraient pas à le faire, même ceux qui prétendent ne pas avoir de problèmes et tentent naïvement de se convaincre eux-mêmes et de convaincre leur entourage.

Nous en arrivons donc à l’essence de la création de l’environnement Rustymonde. Si nous parlons de chiens et de personnes vivant avec eux, qui sont confrontés à des problèmes de toutes sortes, nous pouvons décrire certaines conditions préalables essentielles qui permettent une coopération potentielle. Il s’agit donc de personnes qui sont aux prises avec certains problèmes et qui ne parviennent pas à trouver des solutions parmi l’ensemble des options disponibles dans l’environnement dans lequel elles vivent. C’est-à-dire qu’ils n’obtiennent pas une aide satisfaisante ou une aide quelconque, même s’ils font tous les efforts et ont toute la volonté pour trouver de telles solutions ou réponses à leurs questions. Ils cherchent de l’aide entre le plus grand nombre de professionnels (médecins, dresseurs, chamans, enchanteurs de chiens, pratiques alternatives, coachs, écoles de chiens, etc.). S’ils ne trouvent pas de solution dans leur environnement ou leur entourage (nous pouvons utiliser l’expression « dans le système social » par exemple), mais que la volonté et le désir persistent, seulement alors ils envisagent la possibilité de travailler avec moi. Dans le second cas, il s’agit de personnes qui ne veulent pas chercher une telle aide ou des réponses à leurs questions dans leur environnement ou leur entourage, car d’après leur propre sentiment ou leur expérience antérieure, les possibilités offertes par un tel environnement ne résonnent pas. Dans ce cas, ils se tournent vers moi. Toutefois, bien que cela puisse sembler une banalité, je dois à nouveau insister sur le fait qu’il ne s’agit pas d’une solution alternative, mais d’une solution parallèle. Ainsi, pour reprendre la métaphore de la serre, il n’est pas possible, par exemple, de planter une graine de poivron dans une serre et, après une germination réussie, de retirer la plante en croissance de la serre et de la replanter dans une parcelle du jardin, ou plutôt c’est possible, mais il n’est pas possible de réussir.

Ainsi, si tu comprends la métaphore de la serre, tu verras que tu dois suivre les principes pour garantir le succès. RM est donc un environnement d’un certain point de vue, mais il n’est pas lié à un lieu particulier, bien au contraire. En même temps, je dois souligner que les principes et les « règles » de cet environnement fonctionnent d’une manière très différente à tout autre environnement. De la même manière que l’on peut essayer de faire pousser beaucoup de poivrons dans un lit conventionnel pendant quelques années avec un millier de tentatives infructueuses, et que dans une serre, sans beaucoup d’efforts, on obtiendra la germination et une grosse récolte dès la première fois, il en va de même lors du travail avec, par exemple, un chien qui a subi des séances de dressage, un travail avec des experts, des procédures de formation, une rééducation, etc. pendant plusieurs années, sans beaucoup d’amélioration, voire même sans amélioration du tout, ou du moins l’amélioration du comportement indésirable souhaitée (à moins qu’il ne s’agisse de masquer le « problème »), une telle transformation se produit en quelques minutes, même si cela semblait impossible pendant des années, et ce même si un expert l’affirmait.

Certains parlent de miracles, d’autres du fait que je possède peut-être moi-même un don « surnaturel ». Dans les deux cas, cependant, ils sont loin d’apercevoir la vérité. Non seulement je ne possède pas de don, mais logiquement, il ne peut s’agir d’un miracle. C’est simple à la base, mais extrêmement compliqué, et je vais essayer d’expliquer tout de suite ce qui ne semble être qu’un oxymore typique.

L’environnement dans lequel je travaille est soumis aux lois et aux principes de la nature comme n’importe quel autre environnement, mais la différence est que ces règles et principes ne fonctionnent pas comme ils le font dans un environnement normal, ou comme on pourrait l’imaginer. La compréhension d’un tel environnement est donc extrêmement difficile, même si par principe elle ne devrait pas forcément l’être. Car cela dépend de chaque « observateur », et surtout du degré de déviation par rapport à sa propre nature de vie, car pour comprendre, il est essentiel de régler ce décalage par le travail. La quantité de travail qui nous attend alors est directement proportionnelle à l’ampleur de la déviation en question. Et pourquoi est-ce simple ? Parce que dans mon travail, je travaille dans cet environnement parallèle. C’est comme amener une petite serre dans un foyer où la peur, l’insécurité, l’échec, etc. règnent, dans le cadre du comportement indésirable d’un chien. Une serre offrant l’environnement idéal pour garantir le succès. C’est pourquoi, par exemple, un chien qui a tué et attaqué des poules ou des chats pendant des années, et qu’aucun des procédés de dressage et des experts n’a pu résoudre complètement, ce comportement disparaîtra en quelques minutes, ce qui se manifestera, par exemple, par le fait que le chien (ancien tueur de poules) s’endormira dans le poulailler après quelques minutes en présence des poules elles-mêmes, sans montrer aucun intérêt pour elles.

Seulement cela dépend après de si la question est correctement posée. Un tel chien cessera-t-il définitivement d’attaquer ? C’est précisément l’une des questions qui, entre autres, empêchera ce qu’un tel individu demande. La question appropriée se présente différemment et serait donc, la personne pourrait-elle réussir à maintenir l’environnement (la serre que j’ai apportée) pour toujours ? Alors seulement nous pouvons répondre à la question initiale, mais la réponse n’a plus d’importance, car elle est subordonnée à la seconde question, qui est l’adéquate. Si un homme maintient, ou même construit un tel environnement, alors son chien n’attaquera plus jamais les poules. Dans le cas contraire, après mon départ, le chien attaquera les poules à la première occasion. Nous en venons à nouveau à la forme et à l’adéquation des questions. Comment expliquer au chien qu’il ne doit pas attaquer les poules ? Ou plutôt, comment extraire des informations de la coopération pour ne pas faire tomber la serre ou le principe de son fonctionnement ? C’est important d’être très prudent lorsque je dis que je ne suis pas un dresseur de chiens ou n’importe quel autre type d’expert canin. En général, les gens sont enthousiasmés lorsque, par exemple, en quelques minutes, on retrouve deux chiens couchés côte à côte sur le canapé qui ont voulu s’entretuer à chaque fois qu’ils se sont vus durant toute l’année passée. Mais l’enthousiasme retombe lorsqu’ils découvrent pourquoi ils voulaient s’entretuer et pourquoi ils s’entendent sans entraînement, sans exercice et sans éducation. La deuxième chose, c’est que si une personne ne veut pas accepter la portée de mon travail dans toute sa vaste complexité, qui n’est en aucun cas de l’éducation canine, même si le sujet de la coopération est, par exemple, le « comportement indésirable » du chien, et que je lui explique ensuite le contexte qui explique pourquoi certains « actes indésirables » se produisent, alors la personne est enthousiasmée de voir, par exemple, le résultat positif face au « comportement indésirable » du chien, mais en même temps, il est dégouté parce qu’il pense que je mens, que je veux le voler, le manipuler, le tromper, etc., et j’exploite juste le fait que je suis un bon « dresseur » de chiens. Il pense que je mens lorsqu’il apprend à quel point le « comportement indésirable » est lié à tout, à quel point il doit travailler dur et à quel point la cause est cachée dans son environnement, son attitude et ses faiblesses, à quel point ce « comportement indésirable » ne concerne pas du tout ses chiens ou à quel point des changements énormes l’attendent qui découleront du travail s’il veut obtenir un « succès harmonieux ».  Par conséquent, il faut savoir pourquoi on veut travailler avec moi ou avec RM, et savoir si l’on veut examiner le contexte, même au prix d’un inconfort, parce qu’on apprendra des choses qu’on ne savait peut-être pas ou qu’on craignait d’apprendre, ou qu’on aurait préféré ne jamais l’apprendre, et ensuite on voudra travailler sur son environnement, même au prix parfois d’une énorme difficulté.

« Mais personne d’autre ne le fera à notre place ».

Cela dépend de chaque personne si elle veut sortir de l’illusion, ou au contraire, construire l’illusion. Dans tous les cas, construire une illusion est beaucoup plus agréable (jusqu’à ce qu’elle se brise, mais alors elle est souvent remplacée par une autre illusion construite un peu plus solidement, etc.), mais en aucun cas je mets à disposition cette voie, quelle que soit la forme de coopération.

C’est également important de garder à l’esprit que la serre elle-même ne garantira pas un bon résultat si tu ne suis pas les principes de son fonctionnement. (Cela s’applique également à moi, bien sûr). Si tu ne ventile pas, n’arrose pas, ne fertilise pas, n’ombrage pas, etc., la serre elle-même deviendra un enfer pour les plantes, dans lequel, malgré son énorme potentiel, les plantes cuiront ou brûleront, et donc un tel environnement sera plusieurs fois plus « dangereux » que l’environnement original, de départ, si les conditions ne sont pas respectées.  Cependant, l’environnement RM est soumis à un grand nombre de règles, de principes et de contextes, et ne peut pas juste se résumer à ventiler, arroser, fertiliser et ombrager. Ils sont même si vastes qu’ils traversent tous les niveaux d’existence. Tout dépend donc si l’on veut construire un tel environnement, même avec tout le travail que cela implique, ou si l’on veut que son « chien n’attaque pas simplement les poules » sans vouloir comprendre le contexte, travailler sur chaque dysharmonie, etc., et donc, si l’on pouvait « acheter » la suppression d’un « comportement indésirable » sans connaître, aborder ou résoudre la cause et l’essence d’un tel comportement, on le ferait simplement parce que c’est ce que l’on veut. Cela nous amène aux principes et conditions initiales qui peuvent entraîner une certaine coopération. Bien que RM soit pour tout le monde, il n’est pas pour « chacun ». Mais l’explication et la compréhension de cet oxymore, je te la laisse.

Au vu des lignes qui précèdent, j’espère qu’il est clair que je ne suis pas un dresseur, un coach ou un enchanteur de chiens, et encore moins un expert. Je n’entraîne pas les chiens et je n’enseigne à personne comment entraîner les chiens, en fait je n’enseigne rien du tout. Mais cela ne signifie pas que l’on ne peut pas apprendre quelque chose lors de notre collaboration, que ce soit comment communiquer avec le chien lui-même, ou comment former des accords significatifs qui assurent une coexistence harmonieuse à tous les niveaux.

J’espère que tu comprends pourquoi ces lignes précédentes et pourquoi cette forme. Comme je l’ai dit, bien que j’aie utilisé des exemples spécifiques, il s’agissait également d’une métaphore. J’ai également déclaré que je ne travaille avec les chiens qu’en petite partie. C’est parce que je ne suis pas un dresseur de chiens. En gros, peu importe que ce soit des chiens ou n’importe quoi d’autre qui soit considéré comme un « problème » pour lequel il n’y a pas de solution. Tout comme un chien ayant un comportement indésirable, il peut s’agir d’enfants dont le comportement cause des ennuis à leurs parents (quel que soit leur diagnostic) mais les parents ne trouvent pas de solutions et de réponses dans cet environnement. Il peut également s’agir de la maladie, d’un genou douloureux, d’un échec, de la peur, d’une épreuve ou souffrance, et d’autres situations et actions « indésirables » diverses. Dans de tels cas, c’est-à-dire lorsque les gens ne veulent plus chercher la coopération de divers spécialistes, psychologues, guérisseurs, médecins, charlatans, coachs, thérapeutes, etc., ils ont la possibilité de se tourner vers moi. Toutefois, veuillez noter que je ne conteste en aucun cas le travail des personnes figurant dans la liste précédente, ni ne remets en question leurs pratiques. Mes propos ne visent en aucun cas à dénigrer le travail d’autrui. D’autant plus que je suis bien content de subir ou d’utiliser de temps en temps certaines procédures ou services (par exemple, les médecins). Je parle du principe selon lequel les gens ne trouvent pas ce qu’ils recherchent dans ces options. Cependant, comme je l’ai dit, RM n’est pas une autre option alternative, mais une option parallèle.

Toutefois, je ne m’étendrai pas davantage, car toute personne intéressée pourra en savoir plus, il lui suffit de le vouloir et d’avoir la « bonne » raison.

Cependant, pour que nous puissions nous comprendre, je voudrais remettre un peu de contexte. Je (ou Rustymonde) ne suis pas ici pour aider, guérir, enseigner, conseiller, etc. quelqu’un pour une raison simple. C’est parce que je ne peux pas me le permettre, mais surtout parce que je ne sais pas le faire, et que mon attention n’est pas focalisée dessus. Cela ne signifie pas que personne ne peut obtenir de l’aide dans le cadre d’une collaboration, car l’essentiel ce n’est pas de fournir de l’aide, mais de ne pas la refuser à quiconque en a besoin. L’aide, la « guérison », la compréhension, etc., ne sont donc qu’un effet secondaire de mon (notre) travail et l’essence même de l’existence de RM.

Cette partie de RM, lorsque l’on travaille avec des chiens, n’est qu’un des nombreux domaines où l’interaction et la coopération peuvent se produire. À travers tous les niveaux, les « choses non désirées » ou l’impossibilité d’une solution optimale (recherchée), qui abondent, et à la base, peu importe la forme qu’elles prennent.  En considérant que les choses se déroulent un peu « différemment » dans l’environnement RM, ces éléments indésirables deviennent alors un centre d’intérêt. Bien sûr, un tel intérêt a ses propres règles et conditions, dont la première est le fait même que ces « choses » perdent le qualificatif « indésirable » en premier lieu.  Dans l’environnement RM, il ne s’agit pas de faire disparaître l’indésirable, mais de faire en sorte que l’indésirable (le nouveau désiré) fournisse le maximum d’informations et de contexte sur sa nature afin qu’il puisse « disparaître » dans le cadre du travail, ou trouver et exploiter son potentiel.  Et peu importe qu’il s’agisse d’une planche « indésirable », moisie, sale et pleine de clous rouillés, du comportement « indésirable » de quiconque, ou de tout acte ou situation « indésirable » concernant la vie d’une personne.

Une personne qui lutte contre la maladie, un comportement indésirable, l’échec, le malheur, etc., ne trouvera PAS ce qu’elle cherche dans RM. Seule la personne qui accepte tout ce qui est indésirable comme un miroir et une source d’informations sur elle-même, qui accepte tout ce qui est indésirable comme le meilleur qui puisse lui arriver en ce moment, peut trouver dans cet environnement ce qui la mènera à l’harmonie sans lutte, à condition, bien sûr, qu’elle travaille dur, ce que notre coopération ou un tel environnement parallèle peut rendre possible. 

Dans cet environnement, il est essentiel de chercher une solution non pas parce que la maladie (l’incapacité) survient, mais parce que l’environnement lui-même est malade et en désharmonie. Ainsi, pour reprendre l’analogie de la maladie (et on peut y mettre n’importe quel type d’incapacité), il n’est pas essentiel de chercher la guérison dans cet environnement, mais d’harmoniser son propre environnement, non pas en raison de la présence de la maladie, mais au contraire, en raison de la présence de la dysharmonie. Si ton genou te fait mal et que tu cherches la guérison, tu ne la trouveras pas dans RM. Ce n’est pas le principe de fonctionnement de cet environnement. Ce n’est que lorsque tu recherches l’harmonie parce qu’elle manque dans ta vie et que tu y travailles de manière appropriée, que la guérison du genou sera un effet secondaire de ton travail. Si l’objectif est de se débarrasser de la douleur, cet environnement n’est pas pour toi. C’est comme si l’on faisait pousser un poivron dans un bac à substrat ordinaire et que l’on traitait son flétrissement avec des produits chimiques sans voir qu’il suffit de changer son environnement (le mettre dans une serre), de suivre les règles, les principes et les procédures pour que le poivron se « soigne » lui-même.

Mais Rustymonde n’agit pas seulement en mettant un environnement à disposition, mais aussi en mettant à disposition des possibilités spécifiques qui sont impossibles dans d’autres environnements. En d’autres termes, il met à disposition des possibilités de s’engager ou de coexister avec un tel environnement. Mon travail (le travail de RM) n’est pas seulement de mettre à disposition les services mentionnés ci-dessus, mais aussi de créer les conditions pour l’émergence de l’harmonisation dans n’importe quel domaine, et pas seulement dans l’environnement de RM. Dans les différentes formes d’éducation, de sport, de communication (globale ou verbale), d’architecture, d’industrie, de relations (entre toutes les espèces d’êtres vivants), ou encore de traitement des déchets, etc. Bien sûr, dans des principes, des concepts et des contextes que tu ne peux même pas encore imaginer, mais après tout dans les principes de base des lois naturelles et de la communication qui sont si naturelles pour l’homme, et pourtant si lointaines et inconnues.  Dans les principes sur lesquels RM est construit et créé.

Tout cela, bien sûr, à condition que RM respecte également tous les principes et accords auxquels il est exposé, c’est-à-dire, avant tout, la réalisation de son potentiel, et d’un point de vue particulier, qu’il défende toujours ses actions en dialogue avec son « milieu » (l’environnement) au moyen de l’argument selon lequel n’importe laquelle de ses actions n’apporte que des bénéfices à son milieu. En effet, l’une des autres possibilités de RM est la possibilité d’investir dans notre environnement commun. Ainsi, chaque acte, action ou intention porte un tel contexte. RM n’est pas construite dans un but lucratif, mais au contraire dans le but d’investir des ressources, du travail, des activités, des actes et diverses formes d’enrichissement dans notre milieu commun. Notre milieu (la pièce unique de l’environnement dans lequel chacun d’entre nous vit) que nous partageons ensemble est le plus nécessiteux que RM cible.

C’est-à-dire que, par principe, si RM, par exemple, « gagne » de l’argent, il l’investit pour acheter un terrain et y planter des prairies, des arbustes et des arbres. S’il trouve, il reçoit, et récupère des vieilles planches, il construit un rucher et des ruchers dans un pré. Mais les prairies seront utilisées non seulement par les abeilles de notre rucher, mais aussi par d’autres insectes, papillons et autres êtres vivants, y compris les humains. Tout comme nos abeilles ne polliniseront pas seulement notre pré, mais aussi tout pré ou verger de la région.  Le chevauchement de ces actions, dont découleront des avantages pour l’environnement au sens large, est alors susceptible d’émerger du contexte. De même, j’espère que le mot « notre » (prairie, rucher) est compris dans la même connotation que l’expression « notre milieu », c’est-à-dire qu’il ne s’agit pas d’une propriété de RM.  Cependant, il ne s’agit là que d’un autre exemple (métaphore) de la direction que prennent les actions de RM, et encore une fois, il ne s’agit nullement seulement des prairies et des abeilles, mais d’une multitude de formes et de domaines divers qui sont liés à notre milieu.  Toutefois, cela ne signifie en aucun cas que les bénéfices iront uniquement aux personnes qui sont, ou seront, impliquées dans l’existence de RM, comme cela est souvent mal compris.

Conclusion

Si quelqu’un a l’impression que je parle trop en métaphores et en allusions, ou peut-être même en devinettes, ou que mes mots sont un peu flous, je dois signaler qu’il y a une raison à cela. Ce n’est pas tant mon intention que le fait même que tout ce qui concerne RM ou mon travail ne peut pas être simplement contenu dans des mots. De même, je tiens à souligner que RM repose sur des principes qui ne sont pas connus de tous et qu’il n’est donc pas surprenant qu’ils ne soient pas facilement compris, et encore moins acceptés, mais aussi que son fonctionnement ne repose sur aucune forme de « piété ». Ainsi, une fois encore, la « piété » pourrait n’être qu’une sorte d’effet secondaire, ce qui pourrait bien sûr être longuement débattu. La seule chose qui compte, c’est le sens, mais en revanche ce à travers tous les niveaux. Je tiens également à souligner que le but de mon travail et de celui de RM n’est pas de rechercher des adeptes, des partisans, des sponsors, des mécènes, des clients ou des investisseurs, ni de se promouvoir de quelque manière que ce soit. Cela ne signifie pas que personne ne peut devenir client ou investisseur, etc., mais seulement sous certaines conditions qui sont conformes au principe et à l’essence de la création de RM. Le but de RM n’est donc pas d’offrir des services, des produits ou des prestations, etc. Il ne doit mettre à disposition à quiconque est intéressé et prêt à remplir les conditions, seulement si cette mise à disposition est harmonieuse et significative.  Cela peut sembler à certains petit, égoïste, arrogant, etc., mais crois qu’il y a une raison valable derrière cela, qui réside dans la nature et le contexte des opportunités que RM peut mettre à disposition.

De même, RM ne s’accroche pas au fait que l’application des principes et pratiques mentionnés ci-dessus est le seul ou même le choix optimal pour tout le monde. Pendant longtemps, le projet RM n’a été conçu que comme un outil permettant d’atteindre des objectifs partiels qui ne devaient faire l’objet d’aucune présentation publique, pour de nombreuses raisons. La raison pour laquelle j’ai choisi de publier certaines informations (très sommaires), et ce texte, n’est pas due à un désir de présentation, mais de laisser la possibilité d’accessibilité à quiconque pour qui ces options résonnent ou seront nécessaires à une telle personne. Toute information mise à disposition, accessible au public, qui est essentiellement hors contexte et n’a que peu ou pas de valeur narrative, sert un but et un seul, et donc pas à atteindre le public ou à faire connaître RM, mais de former une sorte de « pont » pour assurer l’accessibilité et la connectivité à cet environnement pour quiconque a un réel intérêt ou besoin d’utiliser un tel pont et donc d’interagir avec cet environnement, sous quelque forme et pour quelque raison significative que ce soit.

Je lance donc un appel aux lecteurs, pas seulement de ce texte-ci, pour qu’ils sachent qu’il n’est ni nécessaire ni dans l’intérêt de RM de partager sans discernement des informations accessibles au public. Elles sont là pour celui qui les recherche activement ou qui en a même besoin, pas pour celui qui est simplement curieux ou peut-être même pour celui qui recherche certaines informations pour des raisons égoïstes ou opportunistes sans que cet environnement RM ne résonne en lui ou n’en ait besoin d’aucune manière. En effet, sans vouloir effrayer qui que ce soit, la bonne raison de l’action ou de la recherche est très importante, car sinon les informations trouvées peuvent être non seulement contre-productives mais aussi plus ou moins dangereuses. Par conséquent, ni moi ni RM ne sommes intéressés par une quelconque publicité. Chaque chose a son temps et sa séquence.

La raison d’une sorte de « présentation » publique, qui, comme on l’a dit, est très sommaire (il y a une raison à cela), est donc avant tout de préserver la possibilité de « trouver » ceux qui le cherchent activement ou qui en ont besoin, et donc de faire en sorte que le potentiel de l’origine de RM soit rempli, ce qui est la seule chose essentielle.

RM construit des projets à travers différents domaines, niveaux ou secteurs, etc., où la taille de ces projets dépend directement de l’intérêt et du soutien des personnes qui veulent participer, partager, bénéficier, co-créer, etc. de n’importe quelle forme. Toutefois, l’existence et la poursuite des projets eux-mêmes ne sont pas soumises à un tel intérêt pour l’investissement, mais seulement la taille des projets en est dépendante. Il est également important de noter que le mécanisme de tous les projets, secteurs ou domaines dans lesquels RM opère est construit sur les mêmes bases et la même substance. Ainsi, il n’est pas possible de soutenir une partie par une action quelconque (de n’importe quel côté, c’est-à-dire bien sûr aussi de l’intérieur de RM) si cela devait « nier » l’une des autres. Bien qu’il soit assez difficile d’expliquer ce principe et que sa compréhension dépende principalement de la volonté et de l’intérêt de chacun, je vais m’aider d’une autre « métaphore concrète ».

Ainsi, si une personne demande la coopération (et peut-être un gentil, aimable, généreux, volontaire, au grand cœur), qui possède des poules, mais n’a pas les moyens ou la possibilité d’acheter un poulailler « significatif » (qui ait un sens), elle s’intéressera en même temps à « l’écologie », aux produits fabriqués à partir de matériaux recyclés, c’est-à-dire aussi à un tel poulailler qui sera respectueux de son environnement, etc. S’il demande un tel poulailler à RM, cela dépendra des circonstances et des liens entre les domaines et les secteurs intérieurs à RM. Si l’objectif d’une telle personne est d’avoir un poulailler avec des paramètres optimaux pour les poules, c’est-à-dire assurer la sécurité, la liberté, la propreté, mais qu’en même temps elle veut clôturer ce poulailler, où le résultat sera un petit espace où toute l’herbe sera déjà mangée, où les poules seront principalement pour la soupe maison et les « barbecues », plusieurs conditions essentielles ne seront pas remplies et RM serait en conflit avec lui-même. Et comme les deux plans, dont nous parlerons plus tard, ne sont pas liés de ce point de vue, même si cette personne offrait des investissements (cadeaux/ »paiements ») de l’ordre de sacs d’or et de diamants, cela n’aurait aucun effet sur cette disposition. Les avantages qui en découlent pour notre milieu seraient niés et les investissements, quelle que soit leur taille, ne leur sont pas supérieurs. Ce qui compte, ce n’est pas le type de personne que l’on est, mais le sens de l’interaction en question.

Tout ce qui est nécessaire pour ceux qui veulent savoir « quelque chose de plus » peut être disponible, il suffit de le vouloir et de poser les bonnes questions…

La dernière chose à mentionner est le fait qu’en termes d’approche et de perception publique, toutes les procédures et tous les principes du travail de RM sont perçus comme étant essentiellement complètement « À L’ENVERS ». Quel que soit le travail, l’activité, la procédure, la direction ou l’acte, etc. Je sais aussi que pour l’instant ça soit bien possible que tu ne puisses même pas encore imaginer ce que cela signifie, mais pendant la lecture de ce texte et tout autre texte (ou autre information) concernant RM, tu dois tenir compte au mieux de cette information. Je dois également te prévenir qu’il est très difficile de garder ceci à l’esprit, mais pour toute interaction ou compréhension, c’est absolument essentiel de le retenir.

« Alors, comme ce n’est pas écrit dans le livre, ou écrit dans le non-livre »

PS:

Si nous-mêmes ne renvoyons pas l’énergie là où nous la prenons, les changements auxquels nous aspirons et que nous appelons de nos vœux ne se produiront jamais. L’énérgie est une commodité qui a ses origines et ses directions d‘usages, mais qui est gaspillée et méprisée sans vergogne. De même, l’intensité énergétique de chaque personne et de sa vie ou de ses habitudes quotidiennes se multiplie constamment. Tant que nous n’aurons pas commencé à rembourser la dette énergétique que nous avons envers notre corps, notre environnement et la planète Terre, nous ne mériterons même pas le droit au changement. De même, tant que nous ne réduisons pas l’intensité énergétique de notre vie ou de nos habitudes quotidiennes. Nous sommes tous dans le même bateau et chacun peut commencer, ou du moins essayer. Il le peut, mais il n’est pas obligé. Cependant, cela ne dépend pas des autres, cela dépend de Toi…..

Cordialement,

Jan