Je suis activement impliqué dans ce domaine depuis le plus longtemps, en gros depuis 2011, et c’est justement ce domaine qui a donné naissance à tout le concept de RM. Cependant, il est impossible de nommer cette section avec un seul mot, donc « les chiens et les gens » n’est qu’une description figurative de ce que cette section cache. Il ne s’agit pas tant des chiens et des gens, mais de toute relation entre deux ou plusieurs êtres vivants, ainsi que de la relation d’un même être avec lui-même.
Si je devais simplement résumer ce qu’est le contenu d’un tel travail, ce serait à nouveau très compliqué et très vaste. Toutefois, on peut lire un certain contexte dans les principes des demandes pour ce type de travail. Et puisque c’est justement la relation entre l’homme et le chien qui a donné naissance à d’autres domaines, je parlerai, dans le cadre d’une clarification du principe, justement par rapport à cette même relation qui, il y a des années, était à l’origine la seule dont je me suis « spécialisé », bien que beaucoup de choses aient changé depuis.
À l’origine, j’ai mis à disposition le travail dans le cadre de la relation homme-chien, lorsque les gens se tournaient vers moi avec une demande pour les aider à résoudre des problèmes apparemment non-résolubles dans leur relation avec leur chien, qu’il s’agisse de problèmes de comportement, d’obéissance ou de santé, etc. Il s’agissait avant tout de personnes qui avaient essayé toutes les options disponibles qui, pensaient-elles, leur permettraient d’obtenir des résultats. Puis, si cela n’aboutissait pas à des résultats satisfaisants dans le cadre des différentes options (écoles canines, dresseurs, comportementalistes canins, entraîneurs, centres de formation, vétérinaires, guérisseurs, chamans ou « enchanteurs » de chiens, etc.), ils se sont tournés vers moi. Mais ce n’était pas une condition pour passer par des tentatives ratées, comme au début exceptionnellement il y avait aussi des gens où j’étais le premier et souvent le seul choix, pour des raisons quelconques. Donc, encore une fois, je dois souligner qu’il ne s’agit pas d’une option ou d’un choix alternatif, mais d’un choix parallèle.
Cependant, je ne suis pas un expert en chiens, un comportementaliste canin, un dresseur ou un guérisseur, etc. Je ne propose ni ne mets à disposition aucun service dans le cadre de ces professions ou activités. Ainsi, je ne dresse pas les chiens, je ne les éduque pas, je ne conseille personne sur la façon de les dresser ou de les éduquer. Non seulement je ne sais pas le faire, mais ce n’est pas non plus l’essence de mon travail. Je ne fais qu’appliquer l’environnement, que j’appelle aujourd’hui l’environnement RM, et les possibilités qui en proviennent pour résoudre une dysharmonie (« problème ») spécifique. Ainsi, le fait que le comportement indésirable (le problème, qu’il soit comportemental ou de santé) disparaisse chez un tel chien n’est pas une conséquence du processus d’éducation, d’entraînement, de formation, mais simplement une conséquence de l’application d’un tel environnement, et plus important encore, des procédures et des formes de communication que propose un tel environnement.
Ainsi, si le chien n’a jamais marché sans laisse, a attaqué quoi que ce soit, a souffert d’une quelconque maladie, peur, anxiété ou a détruit des meubles, tous ces comportements peuvent disparaître très rapidement dans le cadre mon travail. En effet, dans cet environnement, la communication et le partage d’informations fonctionnent de manière diamétralement différente qu’en général dans la société. Oui, si l’on choisit de régler un tel problème par le biais d’un coaching, d’une éducation ou formation, il existe certainement d’innombrables façons de le faire. Cependant, si l’on veut changer les conditions initiales pour que le comportement indésirable disparaisse de lui-même, on n’arrivera pas à ce résultat par le biais de l’entraînement, de l’éducation, de la formation, etc. car dans ce cas la base de ce pour quoi ce comportement est arrivé sera masquée. Donc, il va juste enfoncer/marteler/remplacer une cale par une autre cale (expression tchéque), ce qui veut dire „remplacer un problème par un autre“. Donc, bien sûr, cela dépend de la volonté et de la motivation de chaque personne selon son objectif.
J’espère également que nous n’aurons pas à discuter du principe selon lequel, lorsque la condition de réalité indésirable équivaut à une fracture ouverte du fémur, la meilleure solution est l’une des options librement disponibles, et donc les soins vétérinaires professionnels. Je n’évalue ni ne conteste donc en aucune façon les pratiques et options courantes, c’est le libre choix de chacun, sans compter que j’ai beaucoup de respect et de considération pour l’environnement vétérinaire, par exemple, et qu’à bien des égards, il y a une intersection entre cet environnement et celui de RM ou de mon travail.
Mais c’est autre chose de soigner l’état d’un patient canin qui, sous le stress de l’environnement dans lequel il vit, est sujet à certaines complications de santé ou blessures qui sont soignées par des vétérinaires, qui ne font qu’atténuer les conséquences sans résoudre la cause, alors qu’il » suffirait » de » seulement » harmoniser un tel environnement. Je ne veux en aucun cas dire que les vétérinaires font quelque chose de mal, ils répondent simplement à une demande et, encore une fois, c’est à chacun de définir son objectif. Dans le même ordre d’idées, nous pourrons même voir dans le contexte que lors de l’entraînement, la formation ou l’éducation, il n’y aura pas d’autre situation que « cale par une cale ». Cependant, si cela convient à quelqu’un et qu’il obtient exactement les résultats qu’il souhaite, en fonction aussi de l’harmonie envers l’investissement dans de telles solutions, alors il n’y a rien à objecter. L’environnement RM et mon travail ne sont donc pas conçus pour les personnes qui obtiennent tout ce dont elles ont besoin et qui sont heureuses ainsi.
Pendant la coopération, par exemple dans la relation avec le chien, tout comportement indésirable disparaît très rapidement, sans entraînement, exercice, éducation ou soins. Bien sûr, certains cas compliqués et complexes nécessitent plus de temps. Cependant, ni moi ni l’environnement RM ne pouvons garantir le succès, car cela dépend de chaque personne qui demande une coopération. Moi-même et l’environnement RM ne pouvons qu’assurer (mettre à disposition) les conditions optimales pour que le succès puisse arriver. Ainsi, la plus grande majorité des situations ou des actes indésirables disparaissent en ordre de minutes, tandis que dans le cas d’affaires plus larges, compliquées et complexes, ils disparaissent en ordre d’heures ou de jours. Cela ne signifie pas que le « problème » est résolu.
Si un chien présente des actes ou des comportements indésirables, crois qu’il y a toujours une bonne raison pour que ce soit le cas. Par conséquent, à moins que cette raison ne disparaisse, il importe peu que le comportement ou l’acte indésirable disparaisse. Je comprends que pour beaucoup, il serait plus facile, et même souhaitable, que je vienne dans l’environnement où vit le chien, de « claquer des doigts » et que tout comportement indésirable disparaisse pour de bon. Mais comprend que la racine du problème demeure, c’est-à-dire la disharmonie dans l’environnement ou dans la personne elle-même. La même essence qui rendrait « malade » un enfant né dans une telle famille, qui est également liée à l’être entier de l’homme jusque dans ses moindres détails. Il s’agit de la façon dont on aborde les énergies, les professions, toutes les relations, soi-même, sa santé ou sa maladie, son propre comportement, ses pratiques et ses intentions. La relation homme/chien ou le comportement du chien ne font alors que refléter ce que l’on doit changer si l’on veut trouver une harmonie dans la relation avec son chien. Car il n’est pas possible de trouver l’harmonie dans une seule relation sans chercher l’harmonie sur tous les fronts de son être. C’est pourquoi je ne suis pas un dresseur de chiens, car la « correction » ne m’intéresse pas.
Par conséquent, ce n’est pas mon travail de « résoudre les problèmes des autres », je n’ai aucune autorité, compétence ou intérêt à le faire. Mais je peux montrer qu’il est possible de communiquer à des niveaux que l’on ne peut même pas imaginer, avec n’importe quel être vivant, sans compter qu’une telle relation, où se produit une certaine « action indésirable », peut être une source d’informations importantes sur l’environnement dans lequel une personne vit, et donc sur les dysharmonies dangereuses qui s’y trouvent. Car si un chien communique quelque chose par son comportement, il a une bonne raison de le faire, et si nous le dissuadons de communiquer par le dressage, l’éducation, etc., nous passons à côté des informations les plus importantes qui parlent de nous-mêmes et aussi des causes.
Ensuite, cela dépend si l’on est à l’écoute du chien, mais aussi si l’on veut être à l’écoute. Si c’est juste qu’on ne comprend pas le chien et qu’en même temps, on ne le considère pas comme « un petit con » qui pose des problèmes ou « un pauvre petit » qui est malade, mais qu’on veut le comprendre, alors il n’y a pas besoin d’un entraîneur ou d’un médecin, mais plutôt du vocabulaire d’une langue permettant un véritable dialogue, même beaucoup plus étendu que ce que permet la langue des humains. Si l’on veut vraiment connaître les causes et si l’on veut vraiment harmoniser l’environnement, non pas parce que l’on a un « chien malade/désobéissant », mais parce que l’environnement n’est pas harmonisé en soi, c’est bien plus dangereux que tout « problème » ultérieur avec le chien, qui n’est donc qu’une conséquence, et si l’on ne trouve pas la solution dans son environnement, alors on pourrait la trouver dans RM.
Par conséquent, si au cours de la séance, tous les comportements indésirables disparaissent, ce n’est pas parce que le problème est résolu, car à ce moment-là, le problème n’existe pas dans l’environnement que j’ai apporté avec moi, il se trouve dans l’environnement d’origine. Le dialogue et le système d’accords sur lesquels moi et le chien nous sommes mis d’accord, s’occuperont du reste. Mais cela n’est vrai que dans ce nouvel environnement. De la même manière, depuis ce nouvel environnement, il est possible de voir les causes de ces comportements, qui sont cachées dans l’environnement d’origine. Si l’on veut être à l’écoute de son chien mais qu’on ne le comprend pas, une telle séance peut servir à montrer que c’est possible. Cependant, je ne peux forcer personne à créer, après mon départ, un environnement harmonieux, c’est-à-dire optimal pour tous les habitants de cet environnement. La question n’est donc pas « comment se débarrasser du comportement ou de l’acte indésirable » mais « comment créer les conditions pour qu’il parte de lui-même ». C’est pourquoi, le comportement indésirable disparaît, mais son retour ou non n’est pas décidé par moi, mais par la personne elle-même, par son attitude, son effort et sa volonté d’accepter ses propres informations.
Mon travail ne consiste pas à savoir si la relation entre l’homme et le chien (si on parle de la relation avec un chien) va s’améliorer, se corriger ou gagner en qualité. C’est pourquoi, je ne suis pas un dresseur de chien, ni un comportementaliste canin, etc. L’amélioration de la relation entre l’homme et le chien, ou l’amélioration du comportement (problématique) du chien lui-même, n’est qu’un effet secondaire de mon travail, sur lequel mon attention n’est pas focalisée en premier là dessus. Puisque le comportement d’un chien trouve toujours sa cause dans l’environnement dans lequel il vit, cet environnement est alors le centre de notre intérêt et le but vers lequel nous dirigeons notre travail et notre énergie, que le chien y soit ou non. Si une personne accepte ce fait et comprend que l’expert en chiens (avec lequel les gens me confondent très souvent) n’est pas le choix qui lui convient, car tout dépend de l’environnement dans lequel ils vivent, alors ce n’est qu’après, qu’elle peut aussi apprendre, au cours d’une séance, comment la communication avec son chien peut être complète, efficace et enrichissante. Grâce à cette communication et à cette coexistence harmonieuse, la personne peut ensuite utiliser cette relation comme un tremplin dans le cadre de l’harmonisation de l’environnement dans lequel elle vit avec son chien.
Si quelqu’un veut „marteler /remplacer une cale par une autre cale“ ,il a de nombreuses façons de le faire, mais cet élément n’existe pas dans ma façon de travailler. Ensuite, cela dépend si la personne est à l’écoute de ce que je dis pendant la séance. En fait, je ne partage pas des choses que j’invente ou qui sont connues. Je partage des choses que j’apprends du chien ou de la personne elle-même (sans que cette personne sache la quantité d’informations qu’elle partage sur elle-même), et des observations de l’environnement d’origine. Ensuite, si la personne accepte ensuite ces informations et est à l’écoute non seulement du chien, mais aussi d’elle-même, le chien n’aura plus jamais besoin de laisse par exemple, ou d’attaquer, etc… Mais cela ne dépend que de sa volonté de créer un environnement adéquat pour de tels résultats, de le construire et de l’entretenir, d’apprendre la communication nécessaire pour cet environnement, etc. Ou bien cela dépend aussi de la façon dont cette personne construit un tel environnement: « correctement » ou pas du tout. Chaque retour du comportement indésirable ou de son allusion rappelle alors à la personne qu’elle ne suit pas le bon chemin pour créer un tel environnement ou, dans le cas d’un retour complet du comportement ou de l’acte indésirable, qu’elle a complètement abandonné le chemin ou qu’elle ne l’a même pas commencé.
Le comportement indésirable est donc un cadeau que le chien fait à l’humain pour qu’il puisse retourner d’où il vient, et non un problème. Cela dépend donc de ce sur quoi la personne se concentre et de ses priorités et motivations.
Au fil du temps, quand j’apprenais moi même à créer et à comprendre un tel environnement, une corrélation s’est créée dans d’autres domaines, autres que celui de la relation homme-chien par des questions qui ont commencé à surgir et pour lesquelles on pouvait trouver les réponses dans un tel environnement. En fait, il est apparu que cet environnement était entièrement transférable à n’importe quel domaine ou secteur, pas seulement à l’existence humaine. Il est devenu évident qu’il existe un parallèle entre tous ces domaines qui trouve son intersection, entre autres, justement dans cet environnement. C’est ainsi que j’ai progressivement commencé à appliquer un tel environnement (c’est-à-dire l’environnement RM tel qu’il est défini aujourd’hui) à n’importe quel domaine de la vie, pas seulement humaine. Il est apparu que l’application de cet environnement pouvait être tout aussi efficace pour travailler non seulement avec les chiens, mais à travers tous les secteurs et domaines de notre vie. Soudain, il ne s’agissait plus seulement de personnes (qui m’appelaient pour me demander de l’aide) qui avaient des « problèmes » dans leur relation avec leur chien (problèmes qui ne pouvaient être résolus par des méthodes conventionnelles), mais aussi de personnes qui n’avaient pas de chien du tout. Ils n’avaient pas de chiens, mais ils avaient des problèmes dans diverses relations qui ne pouvaient être éliminés par les méthodes disponibles. Qu’il s’agisse d’un rapport à la maladie, à la santé, au corps, aux autres personnes, à leurs enfants, aux autres animaux, à l’environnement dans lequel ils vivent, à eux-mêmes, ou simplement à tout autre problème ou action indésirable.
Et parce que je sais que ces informations sont très trompeuses, je ne veux pas laisser place à des spéculations inutiles. Mon objectif n’est pas de couvrir le plus de terrain possible, de pénétrer dans tous les domaines et de faire un peu de tout. Au contraire, je me concentre sur une seule et même chose, sauf qu’aujourd’hui, il n’est plus important de savoir sur quelle base elle est appliquée. Le fait est donc que tout acte indésirable, quel que soit le domaine de la vie humaine, se répercute constamment et simultanément dans tous les autres domaines. Donc on peut dire aussi que l’essence de n’importe quelle situation ou fait indésirable, s’impose dans tous les domaines de manière égale, mais cela ne signifie pas qu’elle se manifeste dans tous les domaines par des situations ou des faits indésirables, ce qui ne veut pas dire non plus qu’elle ne se manifeste pas, cependant cette manifestation n’est pas visible à première vue, ou aucune importance n’est accordée à cette manifestation. Ainsi, un genou douloureux peut avoir exactement la même cause et la même essence que notre chien qui attaque nos propres poules, que des désaccords dans les relations, qu’un échec professionnel, qu’une tendance à l’alcoolisme, qu’un surpoids ou que des modifications physiques du corps, etc. La plupart du temps, ensuite, des années plus tard, la personne se rendra compte qu’elle a un problème avec son chien, sans réaliser à quel point il est lié à d’autres problèmes qu’elle a et qui n’étaient pas, pour elle, une motivation suffisante pour résoudre quoi que ce soit. Ou bien, cette personne ne leurs a même pas accordé d’importance, ni même vu le lien. Par conséquent, il n’est pas possible de résoudre juste une seule chose si cette solution doit être obtenue en trouvant la cause et l’essence, qui est toujours la même. Dans le cas contraire, il n’y aura donc qu’un masquage des conséquences dans un domaine et une augmentation ultérieure de la disharmonie vers d’autres domaines de la vie humaine.
C’est également la raison pour laquelle les domaines d’intervention de RM sont si étroitement liés et interconnectés et donc il est impossible de résoudre quoi que ce soit sur la base d’un seul d’entre eux. Mais tout le monde n’est pas prêt à accepter une telle réalité, et certaines personnes peuvent seulement vouloir que leur relation avec leur chien, leur enfant, leur hamster, leur maladie, leur santé ou toute autre réalité indésirable s’améliore sans avoir à aborder quoi que ce soit dans leur approche générale de la vie, sur absolument tous les fronts, dans absolument toutes les relations. Alors la meilleure option pour ces personnes est de trouver un professionnel approprié, s’occupant de cas spécifiques, ne travaillant pas avec moi ou RM. C’est aussi la raison pour laquelle les gens prennent souvent très mal le fait que lors d’une « séance » sous le thème « comportement indésirable du chien/genou douloureux/relations avec les enfants etc…”, on parle de comment, où et pourquoi on part en vacances, comment est sa relation avec les déchets, comment est sa relation avec les illusions, l’honnêteté, la responsabilité, l’amour, le travail, les loisirs, le régime alimentaire etc. etc…, sans savoir à quel point « c’est” lié à la « réalité indésirable » sur absolument tous les plans existentiels. Tout le monde ne veut pas entendre ce genre d’information, mais ça fait partie de mon travail d’apporter les liens, les options ultérieures et les procédures de solution. Bien entendu, cela s’applique à tous les domaines de RM, c’est-à-dire que n’importe quel produit ou service apporté par RM comporte une quantité appropriée de liens divers, et il ne s’agit pas seulement de services. Dans le cadre de la mise à disposition de produits RM, par exemple, l’acquisition d’un poulailler ou d’une ruche, cela comporte un certain chevauchement qui doit toujours être pris en compte et l’acquisition doit être conforme non seulement aux besoins et aux désirs, mais aussi au sens de l’harmonie de la vie entière de la personne et de l’environnement dans lequel elle se trouve. Ce que, encore une fois, tout le monde n’accepte pas ou ne veut pas accepter, ce qui est bien sûr juste, tout le monde n’est pas obligé d’être d’accord avec mon travail, mais justement je parle de cela pour que chacun puisse avoir suffisamment d’informations ou connaître le contexte pour ne pas avoir à regretter notre coopération ni se sentir trompé ou même volé.
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